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le portrait greendy pact

Greendy Pact, c’est avant tout une communauté de partisanes du shopping zéro impact qui fait vivre quotidiennement notre boutique et notre service. Alors nous avons décidé de vous mettre à l’honneur ! Première rencontre avec Amélie, une chineuse hors-pair aux doigts de fée  !

« Je me suis encore plus intéressée à la seconde main quand j’ai été déçue par l’offre des vêtements neufs ».

Voici l’une des raisons pour lesquelles Amélie a décidé d’adopter la seconde main.

Toutes les autres sont à découvrir dans ce premier portrait Greendy Pact !

Amelie assise sur un canapé

“ Bonjour Amélie, est ce que tu pourrais commencer par te présenter , qui es-tu , qu’est ce que tu fais dans la vie, qu’est ce tu aimes dans la vie, dis nous tout !"

Moi c’est Amélie, je suis maman d’une petite fille de 9 mois qui est adorable. Dans la vie, j’ai un peu deux casquettes professionnelles : la première est styliste. Je dessine des collections pour différentes marques mais actuellement c’est plutôt en suspens. De l’autre côté je suis freelance. Je fais de la gestion de projets pour différentes associations. Dans tous secteurs d’activités, mais toutes ont un minimum d’impact positif sur la société .

“ Quel est ton rapport à l’écologie et l’éco responsabilité ? Est-ce quelque chose de présent dans ta vie de tous les jours?"

Je pense en effet que c’est présent mais par effet secondaire. Ce n’est pas un objectif en soit pour être honnête. Je ne me dis pas, il faut que je fasse telle ou telle chose. Par contre, on s’aperçoit qu’en faisant les choses simplement, en fait on y répond. En l’occurrence c’est mon cas. Par exemple je ne consomme pas de la seconde-main parce que je me dis que ça a un impact positif mais parce que j’aime ça. 

Avant, on chinait dans l’armoire de nos grands-mères, maintenant on a plus de possibilités. Il a des friperies, des boutiques de seconde-main etc . Au final, on se rend compte qu’en plus d’être fun, ça a un impact positif et cette démarche finit par s’installer naturellement. Je vis la chose sans contrainte et c’est plus durable parce que je le fais par plaisir et non pas par obligation.

“ Tu as un peu commencer à y répondre mais au niveau de la mode, quel type de consommatrice penses-tu être ? "

Au niveau de la mode en général , je suis très curieuse. Je vais donc régulièrement en boutique mais j’achète très peu. J’adore, même si malheureusement il y en a moins qu’avant, les scénographies, les vitrines, voir les vêtements vivre. Je peux faire des boutiques de “marques”, avec un bémol sur la grande, grande distribution. J’ai du mal avec le mass market. Je trouve que, ne serait-ce qu’en terme de création, ce n’est pas très “rigolo” pour les yeux; je n’y vais pas forcément car tout se ressemble beaucoup.

Ensuite la seconde-main, j’adore ça parce qu’il y a cette idée de chiner. Quand je tombe sur une pépite, je l’achète direct ! Parfois j’achète du vêtement neuf, mais il faut toujours qu’il y ai quelque chose en plus. 

J’ai donc un bon dressing mais il dure très longtemps. Au niveau des pièces, c’est soit je m’en sépare parce que je sais que ce vêtement était là seulement pour un moment dans ma vie, soit je l’adore donc je vais le réparer 15 fois ou le transformer 15 fois !

femme shopping

“Au niveau de la seconde main est ce qu’il y a un moment clé dans ta vie, un déclic ou tu t’es dit je vais aller en boutique de seconde main pour faire mon shopping?"

Il n’y a pas vraiment eu de déclic puisque le vêtement à toujours fait partie de ma vie. C’est présent dans mon quotidien, même professionnellement. Pour ce qui est de la seconde-main, dès qu’il y avait des mouvements dans ce domaine, en général j’en faisais partie. Par exemple à Lyon, la ville d’où je viens, les premiers échanges de fringues entre membres j’y étais. Mais quand je parle de ça, c’était il y a 10 ans . Tout ce cheminement, dans mon cas personnel, s’est fait un peu naturellement. 

Si je n’ai pas eu de vrai déclic, je me suis encore plus intéressée à la seconde main quand j’ai été déçue par l’offre des vêtements neufs notamment chez les marques où j’avais l’habitude de m’habiller. La seconde-main est apparue comme étant une vraie mine aux trésors […] En plus, les pièces étaient dispo à un prix inférieur pour un style qui me correspondait et une qualité supérieure à celle d’aujourd’hui, donc tout était gagnant !

“ Parce que ce que tu aimes quand tu fais du shopping c’est trouver des pièces originales ?”

Pas vraiment, parce que le mot original a une connotation différente selon les gens. Par contre ce qui est vrai, c’est qu’il faut que ça me provoque un coup de cœur. Je ne suis pas dans une recherche de pièce très extravagante, juste un petit truc en plus qui se différencie. En revanche, quand je me balade, je ne recherche jamais vraiment quelque chose en particulier. Mais quand je trouve, c’est génial! D’ailleurs, je déteste faire l’inverse et devoir faire du shopping en recherchant une pièce en particulier.

“C’est un état d’esprit qui correspond bien à la seconde main et que tu apprécies du coup ?”

Franchement oui. Je me dis qu’il ne faut pas aller en boutique avec une idée en tête parce que tu ne trouveras pas la pièce que tu veux. En revanche, forcément on a des idées, des inspirations et parfois, comme récemment par exemple, j’avais une envie d’un haut avec une épaule dénudée et je n’arrivais pas à en trouver en magasin de première-main. Il a juste fallu que j’aille dans une boutique de seconde-main, en l’occurrence Greendy Pact , et j’ai trouvé un haut et une robe. Comme quoi ils étaient faits pour moi!

femme shopping

“Tu viens de nous parler de Greendy Pact est ce que tu peux nous dire comment tu as découvert la marque ?”

C’est une découverte bien particulière puisqu’en fait, j’ai fait un séminaire de travail collaboratif qui mettait en avant quatre projets d’entrepreneurs dans la mode. Il y avait des professionnels comme des porteurs de projets et ce qu’ils appelaient des curieux dont je faisais partie. Les quatre porteurs de projets ont pitché leur concept et derrière on travaillait en petit groupe sur une problématique pour faire avancer le projet. 

À ce moment-là, je n’avais pas choisi de travailler sur le projet Greendy pact, qui faisait partie des différentes propositions, mais j’avais quand même trouvé ça super intéressant. En parallèle, j’avais repris mes études à ce moment-là et il s’avère que Camille, un mois après, est venue  faire une conférence dans mon école. C’est comme ça que j’ai découvert la marque et le projet, que j’ai suivi et trouvé super intéressant, dès le début.

“Dans le concept de Greendy Pact quel est l'élément que tu préfères ?"

Pour moi c’est la boutique ! Le fait qu’elle soit en plein centre de Lille et son atmosphère. Après, au niveau de l’offre ça reste plus aléatoire dans la trouvaille de pièces. Pour moi le plus intéressant, reste la possibilité d’avoir un lieu physique où dans un premier temps tu peux ramener tes vêtements et en essayer d’autres. J’adore l’idée que tu puisses essayer et si tu changes d’avis que tu puisses ramener le vêtement. Je trouve ça vraiment chouette! Elle aurait fait la même chose sur internet, ça m’aurait beaucoup moins intéressée.

“ Est ce que tu aurais une anecdote sur une pièce shoppée chez Greendy Pact, un coup de cœur, une histoire ?"

Pour être honnête mes pièces favorites, ce sont des pièces que j’ai transformé. Pour faire simple, toutes les robes sont devenues soit des hauts soit des bodys. Simplement parce que je ne suis pas robe mais que j’ai adoré le motif ou la pièce en elle-même.

“Dernière question est ce que tu aurais un média, un magazine, un support informatif autour de la seconde main ou de l’écologie que tu recommanderais, ça peut être un compte Insta, un blog, une chaine YouTube etc .”

Ce n’est pas vraiment un lien direct mais il y a une nana qui fait des vidéos pour donner des petits tips en couture. Ce n’est pas en rapport direct avec la seconde main, mais ses vidéos sont très simples et très efficaces. C’est le compte  @alejandramezadiy sur Instagram.

« Merci beaucoup Amélie ! »

Avec grand plaisir !